La revue de presse > 65 - Hautes-Pyrénées
14 janvier 2025
L’impossible procès du maire de Tarbes, cas d’école d’une justice qui ne peut plus juger
Mis en cause depuis une décennie, le maire LR Gérard Trémège devait enfin être jugé dans une affaire de marchés publics suspects en mars. L’audience a été reportée sine die, faute de personnel. « Nous n’arrivons plus à travailler dans ces conditions », alerte le président du tribunal auprès de Mediapart.
8 janvier 2025
Le procès du maire de Tarbes Gérard Trémège, prévu à Pau début mars, repoussé en fin d'année
Le procès de Gérard Trémège, le maire de Tarbes, qui devait être jugé à Pau du 3 au 7 mars prochain dans une affaire de favoritisme lors de l'attribution de marchés publics, aura finalement lieu en fin d'année, en octobre ou novembre.
12 septembre 2024
Frank Supplisson, haut fonctionnaire et ex-conseiller de Nicolas Sarkozy, est en détention depuis avril
Le haut fonctionnaire Frank Supplisson, ayant travaillé auprès de l’ancien président ou de Christine Lagarde, est en détention depuis avril. Au cœur de multiples enquêtes de Mediapart, il est mis en cause dans plusieurs projets industriels spécieux, ayant conduit à des centaines de licenciements.
3 juin 2024
Le maire de Tarbes sera jugé en mars 2025 pour prise illégale d'intérêts et favoritisme dans l'attribution de marchés publics
Après plus de dix ans d'instruction, la date du procès de Gérard Trémège, maire de Tarbes, a été fixée au 3 mars 2025 par le tribunal de Pau. L'édile sera jugé pour prise illégale d'intérêts et favoritisme dans l'attribution de marchés publics et cessions de terrains municipaux, aux côtés de neuf autres prévenus.
23 juillet 2023
Plusieurs charges abandonnées contre le maire de Tarbes, Gérard Trémège, qui devra tout de même se justifier de favoritisme devant la justice.
Inquiété par des affaires judiciaires depuis de nombreuses années, le maire de Tarbes entrevoit le bout du tunnel. Ce vendredi 21 juillet, Gérard Trémège a annoncé à la presse l'abandon de plusieurs charges à son encontre. Ne reste qu'un délit de favoritisme, qu'il assume.