12 janvier 2024
Non-lieu pour un policier de l’antiterrorisme, accusé à tort d’être un «ripoux» sur fond de règlements de comptes internes
Lâché par son administration, au bord du déclassement social, un policier en première ligne lors des attentats de Paris, a bénéficié d’un non-lieu après avoir été poursuivi pour "trafic d’influence" dans une vieille affaire de stupéfiants. Plus payé depuis des mois par son administration, malgré l’injonction de la cour administrative d’appel, il réclame aujourd’hui sa réintégration.